Monomanie : Sorte de trouble mental dans lequel une seule idée semble absorber toutes les facultés de l’intelligence.

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Bucephalandra tank

My turn to fall for Bucephalandra…Beautiful miniature aquatic plants, perfectly fit to nano tanks. I bought them from the online shop Aquatic mosses & ferns that I highly recommend (good price, good advice, shipping is handled with much care as you can see, etc).

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The lighting of this recycled tank was too blue:

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So off course much filamentous algae.

I then switched a Royal Blue to a Cool White LED, so now the ligthting is composed of 1 RB + 1 NW + 1 CW.

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It still seems blue but not as much as it was before. Hopefully this time it will be OK.

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Half of the plants are still in another tank, waiting for PRL deluxe cleaners to remove algae from them.

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Monomaniac line

Humbly…

Many people used to ask me: « OK, they look nice, but what are their lines? ». After more than 2 years of PRL breeding (exclusively PRL) and mixing them taking the best out of each, is the notion of « original line » that important anymore?

My first PRL shrimps date from 10th September 2012, more than 2 years ago like I said. They were « Benibachi Hinomaru grade » PRL. In the invoice below, 5 were mine:

factureHobby_anom_r_r

After that, I got some pretty high (expensive…) grade Benibachi and Ebi Ten. The ones surrounded by the red square for example:
Even now, when I look back at the price, I was really mad at that time to spend that much money for a few shrimps that could die anytime after…

facturePRL

The High Grade Benibachi was this one:

PRL_SS_HG_130709_r

The certificate of authenticity that came with her:

CertifBeniSS_HG

I also got some Nishiki from a friend breeder.

But, surprisingly, I prefer the « no name » PRL shrimps that I had the chance to get from another friend breeder, Ugo. A friend of his, who works for an airline company, brought them directly from Japan, from a personal private breeding.

The beauty of the offsprings from this latter mentioned « no name » line convinced me to orientate my selection in taking the best out of each line and mix them altogether, no matter what purists may think. The only thing I wanted to preserve while doing the mixing is to keep them all japanese.
I had also shrimps from the Taiwanese breeder C-Sky. But despite their beauty, they were kept apart and this line was abandoned over time.

To summarize all this, I started in September 2012 PRL breeding, originally with Benibachi, Ebi Ten, Nishiki and a Japanese « no name » lines.

After more than two years, and many generations of shrimps, I humbly declare the start of the PRL « Monomaniac line » haha :)

From now on, I will work on a more rigorous selection basis. What I am trying to achieve is the legs red color, it will be the main feature of this « line »:

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Although they are not perfect, I really think that I can get something nice ouf of them. The challenge is worth the effort anyway.

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Préparation d’un envoi

« Monomaniac style », c’est-à-dire avec beaucoup (trop) de minutie et de petits détails…Bref, ça prend un certain temps, voire un temps certain, sans compter le temps de la pêche en elle-même dans le bac.
J’ai apporté des modifications dans la manière de faire au fur et à mesure des envois, pour essayer de tout améliorer. Résultats :

Bien se laver les mains, et se couper les ongles. Si si, car on risque que couper les sachets respirants !

Nettoyer et préparer le plan de travail avec tous les outils nécessaires (torchon, éponge, récipients plastique, verres, pipette, bol, épuisette, sachets respirants). Tout doit être propre.

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Mettre le sachet respirant dans un verre, mettre le verre dans un récipient, ici un grand bol. Mettre de l’eau du bac dans le bol au cas où la crevette tombe à côté du verre. Un morceau de mousse bleue dans le sac pour rassurer les crevettes et pour qu’elles puissent s’accrocher. Si on a de la mousse noire, c’est encore mieux : entre les 2 morceaux bleu et noir dans le sachet, les crevettes s’agglutinent sur la mousse noire.
Remplir le verre à ras bord pour faciliter le transfert. Le transfert des crevettes préalablement pêchées peut démarrer, entre le contenant plastique et le sachet respirant.

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Avant de fermer les sachets, on peut aspirer les dernières saletés au fond à l’aide d’une pipette.

Il m’arrive de mettre aussi un tout petit bout de feuille de catappa pour le voyage. Bien éponger l’extérieur des sacs.

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Froisser du papier journal en boules, et disposer ces dernières au fond d’un grand sac plastique sans défaut (non troué).

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Mettre les sachets respirants par dessus le papier froissé. Les aspérités créées évitent de couvrir sur toute la surface des sachets, sinon le transfert gazeux aura du mal à se faire, et ça respirera moins donc…

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Remplir le sac de boules de papier froissé, puis fermer le sac. Le fait de mettre les sachets à l’intérieur d’un grand sac en plastique permet de diminuer le risque que l’eau se répande dans tout le carton si il y a un accident (on ne maîtrise pas tout le process à la Poste…). Le papier permet d’absorber l’humidité, car il y en a toujours : condensation ou/et micro fuites des sachets ? J’ai du mal à savoir la part des deux. Cette méthode permet de bien caler les sachets, tout en laissant suffisamment d’air.

Essayer de trouver un carton solide.

Blinder le carton de papier bulles et autres poches d’air.

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S’il fait un peu frisquet, et s’il y en a à disposition, on met une couche supplémentaire : boîte en polystyrène, dans le carton.

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Si on utilise une chaufferette, il faut toujours avoir à l’esprit que la chaufferette a besoin d’air pour fonctionner (réaction chimique).
NE PAS mettre la chaufferette dans une boîte hermétiquement fermée, surtout si la boîte contient des sachets respirants avec des crevettes à l’intérieur !
Faire un trou dans une paroi de la boîte, et coller la chaufferette dessus (face intérieure). Cette dernière pompera l’air de l’extérieur via le trou, tout en chauffant l’intérieur de la boîte.

Je n’utilise QUE des « Kordon breathing bags », pas de substitut chinois qu’on peut trouver sur eBay. Cela a donc un certain prix.

Le poids d’un carton fait entre 1 et 2 kg, dépendant du nombre de sachets nécessaires. Il peut faire moins de 1 kg exceptionnellement en configuration « printemps-été » (2-3 sachets, pas de chaufferette, pas de boîte en polystyrène)

Quelques infos sur les prix :
Colissimo recommandé : 11,30 Euros (< 2 kg). Ce n’est pas la garantie absolue, mais apparemment il y a plus de soins apportés à leur manutention. Ça vaut le coup de se mettre toutes les chances de son côté pour qu’elles arrivent à bon port.
Sachet respirant : 0,50 Euros le sachet (sans compter les fdp pour les acheter)
Chaufferette : 1 Euro

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Funambule

PRL on Fissidens splachnobryoides

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Acclimatation

J’ai essayé beaucoup de choses : pas de goutte à goutte (si si), goutte à goutte long, en faisant des nœuds avec le tuyau à air, en utilisant une pince à linge, en utilisant un robinet en plastique, en utilisant un kit de perfusion vendu en pharmacie, etc.
Et ce qui suit est ce que je fais aujourd’hui, personnellement. Cela marche bien pour moi. S’en inspirer, ou pas.

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Lorsque le colis est à la maison, l’ouvrir en le laissant dans un endroit pas trop éclairé, pour que le contenu prenne la température de la pièce. Durée : 20-30 minutes.

Pendant ce temps, remplir une bouteille de l’eau du bac d’accueil avec une quantité suffisante pour l’acclimatation. Préparer le tuyau (à air) du goutte à goutte. J’utilise un robinet en inox, qui a l’énorme avantage d’être très précis.

Sortir les sacs/sachets des colis, et les découper délicatement (ou bouteilles).
Ne pas essayer de récupérer les sachets, ce qui peut être tentant s’il s’agit de sacs respirants. Cela ne vaut pas le coup, et risque de stresser les crevettes, voire de les blesser. L’opération n’est pas forcément si simple car il n’y a pas  beaucoup d’eau. Retirer les supports des sachets (mousse, plantes, fils, etc.)

Vider le contenu eau + crevettes dans un récipient plastique transparent, préalablement lavé. Y mettre les supports et/ou plantes flottantes pour qu’elles s’accrochent.

Mettre le récipient à flotter dans le bac d’accueil, sans éclairage. Les crevettes seront ainsi moins stressées car devinent l’environnement accueillant (ma théorie), et la température de l’eau peut s’équilibrer en même temps.

Faire le goutte à goutte pendant 2-3h. Volume final : environ 4 fois le volume initial.

S’il s’agit d’un envoi, il vaut mieux pêcher les crevettes à l’épuisette pour les mettre dans le bac d’accueil, pour éviter l’eau de transport.

Éviter de remettre l’éclairage tout de suite, mais ce n’est pas très gênant non plus si on est trop impatient d’observer les nouvelles arrivantes, ce qui se comprend.

Ne pas les nourrir pendant 24h.