Monomaniac fr

Il s’agit d’un escargot d’eau douce originaire d’Afrique du Sud, dont la reproduction reste encore inconnue en aquarium.

Réputés excellents mangeurs d’algues, trois de ces escargots ont été introduits hier dans l’aquarium.
Effectivement, les zones d’algues bien encroutées commencent déjà à s’éclaircir au gré de leur passage. Et apparemment, ils ne s’intéressent qu’à ce type d’algue bien incrustée et chiante à nettoyer, tant mieux car il y a du boulot…
En plus, je les trouve plutôt jolis.

Il faudra maintenant surveiller l’équilibre entre l’aide qu’ils apportent, et les déjections qui en résultent. A surveiller également leur propension à sortir hors de l’eau et même de l’aquarium, d’après ce que j’ai pu lire.

Pour continuer dans la boutique des horreurs, voici quelques taches dont je ne connais pas l’origine exacte. On peut penser que cela peut provenir de coups de soleil qui ont dégénéré ensuite. Mais je les expose tellement peu, voire pas, au soleil direct que le doute reste permis.

Cattleya hibride :

Puis, sur une pousse paraissant saine, la même tache est apparue à l’extrémité. Je surveille sa propagation, mais elle a l’air de ne pas grossir davantage.

Pour ce cattleya, il est impossible que ce soit le soleil car je ne l’ai pas exposé directement même durant tout l’hiver.

Dendrobium constrictum (ou miniense) :
Cliché du 24 février 2008. J’avais coupé en entamant le pseudobulbe pour retrouver une partie saine.

Cliché du 28 mai 2008. Rebelote, voilà que ça recommence sur une autre canne, et pas à l’extrémité mais près de la canne. Encore un coup de ciseaux, et 3 feuilles en moins malheureusement car il fallait également remonter haut dans le pseudobulbe.

Il se retrouve pour ainsi dire sans feuille. J’espère que la jeune pousse qui pointe va rapidement prendre le relai pour assurer la photosynthèse.

Vanda inconnu :
Bizarrement, c’est arrivé sur deux feuilles d’un côté et de l’autre, quasiment au même niveau.

Si vous avez des conseils, des idées de diagnostic, et de remèdes, je suis plus que preneur…

Mon cauchemar :

On croît les avoir éliminées, mais elles reviennent toujours on ne sait pas trop comment ! Heureusement quand-même que c’est toujours le même coin et en général les mêmes plantes.

J’ai perdu un phal qui était en bonne voie de sauvetage. N’ayant plus aucune feuille, il en avait refait une avant que cette dernière ne tombe alors qu’elle était encore verte. Et vert j’étais…

Récemment, à force d’essayer de déloger ces sales bêtes des nœuds de plusieurs hampes de 3 phal hybrides, j’ai perdu patience : j’ai fini par couper et jeter toutes les hampes. Les fleurs n’arrivaient pas à s’ouvrir complètement sous leurs assauts de toute façon.
Le temps dira si ce sacrifice valait le coup.

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Vous aurez certainement reconnu Lara Croft, Peter Parker, et Titi et Grosminet. En revanche, je ne connais pas le nom de l’ours. Et vous ?

Les Parisiens auront peut-être reconnu le carrefour des Gobelins, Paris 5e.
C’est là que prends le métro pour rentrer dans ma banlieue. Hé oui, les beaux quartiers, c’est seulement pour le taf
Mais il y a pire que de bosser à côté des Jardins du Luxembourg…

J’ai profité des premiers beaux jours du printemps pour sortir quelques orchidées, imitant ainsi certains passionnés, en l’occurrence deux passionnées ici : Sam et Kay.
Le brise-vent, qui sert aussi d’ombrage pour le coup, et le treillis prévu initialement pour la clématite sont bien pratiques pour accrocher tout le monde.

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Mais j’ai dû rapidement faire machine arrière car les nuits sont redevenues fraiches (parfois 10°C le matin !) , et pas le temps de les rentrer/sortir tous les jours. Passionné, mais il y a des limites

On verra plus tard lorsque la chaleur sera vraiment installée.